“Ce choix vous honore, mais vous fait passer à côté d’une tranquillité financière, est-ce vraiment le bon choix ?” Voilà la phrase qui a clôturé une conversation que j’ai eue avec un PDG d’une big boîte française. Il cherchait une freelance experte en communication. Je passe une première visio avec la chargée de com’. Une deuxième avec toute l’équipe marketing. Et puis une dernière avec le PDG. J’étais the one, j’étais l’��lue. Grosse fierté… Oui mais ! J’ai refusé la mission. Qui était pourtant payée à la hauteur des espérances de n’importe quel(le) freelance. Tout simplement parce que je crie sur tous les toits que j’accompagne des boîtes ENGAGÉES. 👉 Ne serait-ce pas un peu culotté de le crier et ne pas l’appliquer ? Si ! Même si on vous fout des billets violets sous le nez. Alors voilà, j’ai refusé, et je me sens alignée. Car participer au greenwashing, très peu pour moi. Si demain Total me propose le million pour redorer leur image, je dirai non. Et je ferai tout simplement le million autrement. Ah une dernière chose : J’ai refusé parce que j’ai 3 ans d’entrepreneuriat derrière moi, des missions récurrentes et suffisamment de clients. Loin de moi l’idée de jeter la pierre à une personne qui n’aurait pas refusé car sa situation actuelle ne lui permettait pas. T’aurais fait quoi à ma place ?